Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
le monde d'elfarranne
19 septembre 2007

Voluptatès : suite

Bagerrand servit un verre à Letho suite à ses excuses avant de se servir à son tour. Ils allèrent rejoindre les dames sur les coussins quand Fleur se leva pour aller à l'étage les laissant tous les 3 seuls.
Alors mon beau... Ou en étions-nous? 
La tenancière lui caressa les lèvres du bout des doigts avant de l'embrasser goulument pour ensuite aller rejoindre Bagerrand qui ne la quittait pas des yeux, son regard trahissant son envie d'elle
 
Tu veux jouer avec nous Bage....? 
Lolite embrassa Bagerrand à son tour pour ensuite s'éloigner et se dévêtir ne faisant que grandir l'appétit des 2 hommes. Bagerrand la rejoignit la colla contre lui l'emportant dans un baiser fougueux tandis que la belle glissait ses mains glissant sous sa chemise.

Letho comptait bien ne pas se laisser faire ainsi, il avait déjà été laissé sur sa faim une fois, pas question de laisser la belle se jouer de lui une deuxième fois et pas question non plus de se contenter de les regarder batifoler.
Il se leva et ôta sa chemise tout en se rapprochant lentement d'eux. Les mains de Bagerrand parcouraient le dos de Lolite la collant contre lui, letho se plaça derrière elle et lui effleura les jambes du bout des doigts, les remontant lentement pour s'arrêter sur ses fesses raffermissant ses caresses.

Yalim continua de penser à des choses diverses et variées, la plupart en rapport avec ce qu'il avait quitté au Moyen-Orient pour visiter un peu le monde au delà des frontières qu'il connaissait. Ces pensées étaient conduites, il n'en doutait pas, par la présence de Nérit à ses cotés qui lui rappelait les femmes de là-bas, belle et attirante, à la peau douce et chaleureuse.
Le temps avait filé plus vite que ce qu'il pensait et s'aperçut que la danseuse était toujours contre lui mais endormie dans l'eau désormais froide du bain. Lui-même ne pouvait rester dedans plus longtemps des frissons lui parcourant le corps à plusieurs reprises. Il sortit donc du bain doucement prenant soin de ne pas réveiller Nerit et s'essuya avec une serviette lâchant une grimace lorsqu'il passa sur sa virilité ou plutôt ce qu'il en restait. Cela créait une sensation peu plaisante pour Yalim qui se pressa de terminer son essuyage. Il s'occupa alors de Nerit qu'il essuya aussi bien que possible après l'avoir sortie du baquet, la secouant le moins possible lors de l'essuyage. Il fut attentif aux courbes fines de la femme endormie qui lâchait de temps en temps un où deux grognements lui faisant alors stopper net son geste avant de reprendre lentement.

La pièce contenait aussi un lit pour un peu plus d'une personne, couvert de draps fins et colorés pour éviter une trop grosse chaleur pendant le sommeil et permettre d'amples mouvements pour d'éventuels amants qui souhaiteraient s'ébattre ici. Il installa Nerit sous les draps qui grommela à nouveau une fois dans le lit. Ensuite Yalim alla passer sa chemise avant de retourner prendre place à son tour sur le lit, du coté droit où il se mit sur son flanc afin de tourner le dos à Nerit. Après quelques instants de flottement entre la réalité et le rêve, Yalim commença à s'endormir tandis que des soupirs montaient de temps à autre du rez-de-chaussée.

Elle se sentait bien, elle n'avait pas trop chaud, mais elle sentait près d'elle son corps tiède, et sa présence rassurante. Elle se tourna vers lui, instinctivement, et passa son bras autour de sa taille, se pressant contre son dos. Il sentait le savon à l'huile d'olive, et ses cheveux étaient humides. Elle respira doucement son odeur, et son cœur s'accéléra. A nouveau, une douce chaleur envahit son ventre et ses reins, l'envie de se fondre en lui... Mais il dormait. Et s'il était moitié aussi fatigué qu'elle, il avait bien mérité sa sieste.
Elle cacha son visage contre sa nuque, s'enivrant de sa présence, et glissa une jambe entre les siennes. Après tout, rien ne pressait, et elle pouvait bien dormir encore un peu.
D'en bas montaient des gémissements étouffés, et parfois un râle rauque. Lolite semblait avoir repris son activité favorite.

Un pigeon après un long vol se posa sur le rebord d'une fenêtre de l'établissement.
A sa patte une missive en provenance du Maine, le message était destiné à une certaine Lolite , le volatile bien entrainé tapa du bec à la fenêtre pour se faire voir car il n'avait qu'une hâte prendre du repos et pour cela il devait achever sa mission...

 

   
 

Citation:

 
 

Lolite ,
 
  je me présente yllana , je suis présentement à Mayenne et suis une grande   amie de votre cousine Lyne . Celle ci m'a parlé de votre établissement et de   vous bien évidement, ne cessant de me narrer ô combien vous êtes femme   d'exception. Mais laissons la les éloges , je ne suis point femme a user de   compliment à outrance , je me suis permise de vous envoyer cette missive car   je souhaite quitter ma ville , ma région , ma vie ...Mes pas souhaiteraient   me guider vers Narbonne , mais la route est longue et je ne me sens la force   d'entreprendre un tel voyage sans but ...
  Je souhaiterai vous offrir mes services , j'ai la naïveté de croire que mes   "dons" pourraient vous être utile dans votre "travail"...  
  Auriez vous de ce fait une place de travail auprès de vous ? ...
  Je ne peux vous offrir en guise de garantie pour l'heure que la bonne foi de   votre chère cousine qui me cautionne à cet effet.
 
  Mon pigeon me trouvera si je suis sur les routes, pourriez vous le nourrir,   le pauvre il est fidèle et dévoué mais aime à se faire dorloter et je suis   sure qu'il fondra de plaisir sous vos caresses...
 
  Bien à vous.
  Yllana

 

 

Entourée de chaleur Lolite était, tout à son plaisir, tout à sa jouissance.
Les caresses fusaient sur le premier, puis le second. Du premier et du second.
Les coussins formaient le plus doux des matelas sous leur corps nus. La douceur de Bagerand, la vigueur de Letho. La fougue et la sauvagerie, la sensualité et l'extase.
Femme à se donner à l'amour. Oui elle était belle et bien faîte pour ça. La journée fila... fila.... Sous les caresses, et sous ces corps s'entremêlant. Les deux hommes ne s'occupant que de la belle pour son plus grand plaisir.
Ils finirent par monter tout les trois à l'étage. Elle les voulait dans son lit. Et ainsi profiter d'eux.
Leur étreinte....Mmmmmmmmmmmmmm. Elle s'en mordait les lèvres de plaisir....
Le sommeil vînt finalement les narguer, et après tant de plaisir, il fut le bienvenu.
Sous les jambes musclées, notre catin s'endormie, paisible et heureuse...

 

Publicité
Commentaires
Publicité
Derniers commentaires
le monde d'elfarranne
Archives
Publicité