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le monde d'elfarranne
11 août 2007

Voluptatès : suite

Lommyr descendait dans les rues de narbonne.
Il etait arrivé fraichement dans la matinée et avait passé un bon moment en taverne. Ayant rencontré quelques connaissances, on lui indiqua une bonne adresse pour passer la nuit... une nuit agitée meme.
Se faufila dans les rues il arriva enfin devant le lieu dit :
Les Voluptuamachin. Enfin .
 
Se mettant face la porte, il toqua 3 fois, histoire de se faire entendre. On lui avait dit le plus grand bien des delices qu'on pouvait trouver dans ce genre d'endroit. Enfin une soirée chaleureuse apres le long trajet qu'il avait fait
.


Ils avaient fini par l'atteindre, ce ciel que seul le plaisir amène à nous. Et dans un hurlement commun, ils avaient frémit, transportés vers les délices de la jouissance, les yeux clos, le corps tendu, la respiration saccadée...
Ils avaient fini par sombrer dans le sommeil, enlacés l'un contre l'autre, la tête de Lolite au creux de l'épaule de Bage, qui la recouvrait de sa cuisse. Tout deux dormait du sommeil du juste, épuisés de s'être tant donné.
Un rayon de lune filtrait à travers la fenêtre, illuminant les amants d'une faible lumière pâle, pas un nuage à l'horizon, la nuit s'annonçait belle.
Quelques heures plus tard, la belle se reveilla au son d'oiseaux bien matinaux. Le soleil rougeoyant se levait à l'horizon, les étoiles se couchaient l'une après l'autre, comme happé par la lumière environnante.

Toute endolorie d'avoir dormi à même le sol, Lolite s'étira et se leva, jettant un oeil attendrie sur le bel homme endormi. Elle s'assit contre le fauteuil, les genoux ramenés sous son menton, et elle le regarda. Si beau, paisible dans son sommeil. Son corps musclé l'émouvait, nul homme ayant posé la main sur elle n'approchait une telle perfection. Son menton volontaire, sa bouche tendre et sensuelle, de fines rides aux coins des yeux. Elle appréciait le spectacle qui lui était offert, et caressa lentement le corps endormi de celui ci. Elle embrassa tout d'abord sa tempe, descendit sur sa joue, déborda sur son cou, atteignit son épaule. Sa main glissait de son bras à sa main, de sa main à son ventre, puis à sa cuisse. Et lentement elle le caressait, elle l'embrassait, soufflait sur sa peau, faisant s'irricer les poils de son corps, ses paupières closes frémirent, et un sourire naquit à ses lèvres.
Bage s'éveilait sous les doigts enchanteurs de Lolite...


Ils avaient atteint les sommets de l'apothéose, s'étaient épuisés de leurs caresses sans cesse renouvelées, de leurs baisers intarissables et de leurs ébats langoureux, les faisant frémir, soupirer ,leurs corps leurs en demandaient encore et encore ......et avaient fini par s'endormir enlacés.
Bagerand avait donc sombré dans un profond sommeil, un profond bien être l'avait envahi . Jamais une femme ne s'était donné à lui comme Lolite l'avait fait, jamais un corps n'avait été autant en osmose que le sien .Voila ce qu'il avait pensé avant de sombrer dans le sommeil.........
Une caresse...un souffle sur sa peau.....un frisson.... un baiser.... un sourire apparut au coin de ses lèvres. Il l'attira à lui, s'empara de sa bouche alors que ses mains à nouveau la faisait frémir sous les caresses.
Sa peau.... si douce ..... il la parcourut à nouveau avec ses lèvres, s'enivrant de son gout que les embruns de leurs ébats avaient laissé, l'affamant à nouveau.
Roulant , il s'empara à nouveau d'elle, leurs corps se tendis......... à nouveau... leur souffle se fit plus court, les soupirs...... les gémissements....... furent à nouveau leurs seules paroles.


Fleur allait répondre à Elfarranne quand on frappa à la porte.
L'allure de l'homme auquel elle ouvrit fit naître un sourire de gourmandise sur ses lèvres.
-Bienvenue Messire, dans cette humble demeure... Je me nomme Fleur et vous souhaite d'innoubliables instants parmi nous... 
Tout en l'attirant à l'intérieur, Fleur le soulage de son mantel en gestes lents, effleurant sa nuque de ses doigts, accompagnant insolement l'étoffe qui glisse sur les épaules de l'homme.
-Suivez-moi, nous bavardions devant le feu. Venez vous joindre à nous. 
Murmure en passant devant la blondinette et caresse sur la joue rose...
-Vous ne connaissez rien au choses de l'amour mignonne?... Et bien, lancez-vous...


Lommyr fut surpris par la beauté de la femme qui lui ouvrit la porte. De ce fait il en perdu tous ses moyens. De plus son sourire le fit fondre.
Se laissant faire et repondit d'un timide :
 
-Bonjour 
Il la suivit d'un sourire, il se rapprocha du feu . Regardant la femme Blonde deja presente, il fronca les sourcils, il lui semblait deja de l'avoir apercut quelque part, mais il ne savait ou.

Etant allégé de son mantel et s'etant calmé des frissons qui parcoururent son corps suite aux doigts de l'hotesse effleurant sa nuque, il s'assit pres du feu.
 
- J'espere ne pas déranger. 
Fut sa seule, et intelligente parole.


Restes.... 
Il la caresse, il la prend et la possède... Elle est à lui, toute à lui, entre deux gémissements lui parle, autant qu'elle le peut tant l'envie de hurler est présent.
Il lui mordille le lobe, lui souffle dans le cou, et ses hanches volent à une allure folle, la transportant toujours plus haut...
Restes.... Restes avec moi... 
Il sourit contre son visage, l'embrasse, la dévore, la titille, lie sa langue à la sienne. Bouche contre bouche, peau contre peau, l'un en l'autre.
Que je restes... Tu... veux que ... je restes? 
Elle ferme les yeux, le plaisir est trop fort, elle se mord la lèvre, voit les étoiles danser sous ses yeux fermés, semblent entendre violons jouer...
Oui.... oui..... OUIIIIIIIIIIIIII....Restes....
 
Une vague déferle sur eux, embrase tout sur son passage, les portes loin, là ou la voix se meurt après qu'elle ai hurler à n'en plus pouvoir...

Quand le plaisir est trop fort....

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