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le monde d'elfarranne
6 août 2007

Voluptatès : suite

Il l’avait suivit, sourit au baiser qu ‘elle avait échangé avec la belle rousse, puis arrivés dans la pièce il avait regardé l’environnement avec satisfaction.
Le baiser échangé timide au départ se fit brûlant Bage la serrait contre lui l’a maintenant d’une main fermement plaqué dans son dos, l’autre explorant les courbes de son corps glissant sur ses hanches.
Le plaisir naissant tel une gourmandise il laissa glisser ses lèvres vers le cou de la jeune femme qui déjà rejetait sa tête en arrière.De sa langue, il parcouru la naissance de cette gorge qu’il convoitait depuis son arrivé.
D’une main experte, il ôtât le peu qu’elle avait sur elle découvrant ainsi la splendeur de son corps, de l’autre il continua ses caresses s’arrêtant un moment sur un sein jouant un instant avec son téton durci par l’envie Il avança vers le fauteuil la faisant ainsi reculer jusqu'à l’en faire tomber.
Aucuns mots n'avaient été prononcé auraient-il été utile ?
Seuls les sens étaient éveilles.
Lolite l'attira vers elle.............


 

Maraudeur se laissa éconduire vers la sortie, toujours mangeant sa pomme. De toute évidence, la pauvre femme devant lui voyait sa vie abandonnée aux plaisirs charnels et cela le fit sourire. Il rabattit son capuchon, toujours souriant, et se fondit dans l'ombre d'une ruelle.
" J'espère qu'elle ne m'a pas vu... si jamais elle passait par-là...".


 

Elle le détaillait des pieds à la tête, s'attardant sur la courbe de ses cuisses musclées, son plaisir évident à travers son pantalon, son torse musclé, ses fortes épaules...
Il passait tendrement ses mains dans les boucles noires de Lolite, qui finissait de le mettre nu. Elle le repoussa du pied, l'observant à loisir, tandis qu'il se languissait de la prendre.
Elle passa une langue sur ses lèvres, et devant les yeux de son amant, commença lentement à explorer son propre corps.
Au gré de son souffle se meut son fin cou
Tandis que son doigt glisse de sa joue,
Parcourant sa course vers ses rondeurs
Par monts et vallées, insupportable lenteur.
Lorsque ses mains atteignent son ventre
La belle croise son regard, superbe amante
Qu'elles ralentissent vers le bas de celui ci
Accentuant son souffle, délicieuse envie...

Elle n'entame pas son plaisir solitaire, se lève et rejoint Bage, posant ses mains coquines sur le corps de celui ci, embrassant sa langue, mordant sa lèvre, glissant sa bouche sur son cou, puis sur son torse...
Il soupire de contentement, et par sa bouche veux le faire gémir, par ses
mains veut le faire frissonner et par son corps brûlant veut le faire hurler...


L'air du dehors faisait un grand bien à Elfarranne, perdue dans ses pensées, elle ne fit pas attention où ses pas la menaient. Lorsqu'elle releva la tête, elle se trouvait en face de la mairie devant la maison de Lolite. *Pourquoi pas* se dit - elle. N'ayant pas toutes les idées claires, elle poussa la porte et entra.
Elle se retrouva dans un grand hall, avec pleins de coussins partout. Il se dégageait de l'endroit, une
 douceur, une chaleur qui donnait envie de se laisser tomber parmi les coussins Hou, Hou, il y
a
quelqu'un ? demanda - t - elle. N'entendant pas de réponse, elle trouva une chaise et s'assit attendant sagement.


Découvrant une à une les pièces toutes chaleureuses et évocatrices, à l'image de Lolite, Fleur avait finit par trouver de quoi délasser son corps rompu par le voyage.
Trônant devant une cheminée, un baquet de belles dimensions et son eau brûlante avaient accueilli sa fatigue.
Elle se sentait à présent d'humeur charmante et gourmande...
Une petite voix timide et mélodieuse résonna dans la maisonnée.
Couvrant à la hâte sa nudité, Fleur se dirigea vers l'entrée, curieuse de découvrir l'intruse.
Une blondinette à l'air sage se tenait assise dans l'entrée, avec un air de se demander ce qui avait pu pousser ses pas ici.
Sourire moqueur...
-Bienvenue jolie damoiselle! Vous seriez-vous égarée? ... 
Silence timide de la petite chérie.
-Lolite vous aurait sûrement accueillie elle-même mais elle est je crois fort occupée... Me permettez-vous de vous tenir compagnie?

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