suite histoire j'habite au 22......

Elfarranne arriva toute essoufflée de sa course effrénée. Quand elle avait vu le sang de Séphir, couler son cœur s’était arrêter un instant, même s’il avait une couleur exceptionnelle, elle avait souffert pour lui. Elle avait dû s’enfuir, ne pouvant plus les regarder se battre. C’est alors, elle comprit qu’elle aimait cet elfe et là elle se mit à sangloter, la tête enfouie dans ses oreillers. Elle savait cet amour impossible. Tant pis elle ferait avec. Garder son amitié était plus importante que tout. Elle espérait juste que de temps en temps, il viendrait la voir. Il était tellement absorbé par son combat et c’était logique, qu’il n’avait pas dû s’apercevoir de sa disparition. Elle irait noyer son chagrin en taverne, à moins qu’elle ne quitte Narbonne. Elle finit par s’endormir, sans manger épuisée par tant d’émotion. Il ne devrait jamais, jamais savoir la tempête qu’il avait déclenché. Elle allait apprendre à vivre avec cet amour enfoui au fond de son cœur.

Elfarranne se ressaisit et poussa un profond soupir. Elle avait rencontrer son ami Yoyo, à la taverne de la perle noire. Il fallait lui faire honneur. Elle sortie de sa léthargie et entreprit un grand nettoyage dans sa maison. Elle lava du sol au plafond toutes les pièces. Elle changea les draps des 2 chambres. Une fois son travail accompli, elle sortie dans son jardin, elle avait bien mérité une petite pause.

Yoyo entendit sa belle toute triste et se dépêcha d'aller voir.

Ma belle tu as besoin de réconfort, alors me voilà tu sais à propos de ton jardin je te propose un jardin de paix tu en as besoin en ce moment, puis comme tu aime des oliviers!

Elfarranne remercia Yoyo d’être venu la voir. Et de plus à deux son jardin serait plus vite transformé. Il voulait lui planté un olivier. Pourquoi pas ? . Qu’il était doux de se reposer sur quelqu’ un. Son aide était précieuse. Sa gentillesse lui faisait du bien. Elfarranne lui proposa de passer la nuit chez elle, dans la chambre d’ami.

Elfaranne prit une profonde inspiration, elle se fit chauffer de l'eau pour se faire une infusion, ce qu'elle allait faire n'était point facile .Elle allait prévenir Yoyo qu’elle ne l’aimait pas, du moins comme lui l’aimai.t Elle s'assit, prit un parchemin et une plume. Pendant que ses herbes infusaient, elle resta là le regard perdu dans le vague. Puis elle but une gorgée et commença sa missive. L'ayant terminée, elle se prépara un balluchon. En effet elle quittait pour quelques jours sa maison, de toute façon personne n'y venait. Elle allait s'installer à l'auberge des trois pendus, en dehors de Narbonne. Elle avait besoin de réfléchir. De là elle pourrait aller dans la forêt. Elle ferma sa porte et partie sans un regard.

Elfarranne et Séphir arrivèrent après un long voyage au 22 rue des Alizés. Elle était contente de retrouver son foyer. Lorsqu’elle entra suivit de Séphir et du louveteau, quelque chose de bizarre attira son attention. Sa maison avait l’air calme mais. Elfarranne se rendit en premier dans les chambres, tout était normal. Elle ouvrit les fenêtres pour aérer. Elle entendit du bruit dans le jardin. Puis Elfarranne se rendit dans la cuisine, et là le spectacle, la laissa sans voix. La porte donnant sur le jardin était ouverte. Sa cuisine était sens dessus dessous. Ses bocaux contenant ses herbes étaient par terre. Quelqu’un était venu chez elle. Dans sa réserve, les carottes qu’elle y avait mis avaient disparues. L’on s’était attaqué à ses pommes aussi. C’est alors qu’Elfarranne découvrit dans sa maison………du crottin de cheval. Elle sortie dans le jardin. Effectivement là dehors broutait une jument blanche. Comment est – elle arrivée là ? A qui appartenait – elle ? Et que devait – elle faire ? . Elfarranne se tourna vers Séphir et lui demanda conseil. Il avait l’air aussi surpris qu’elle. 
Que vais – je faire de cet animal ? As – vous une idée ?

Séphir regardait avec surprise la jument... d'où venait elle s'était la principale question.
Euhhhhhh tu pourrais l'adopter qui sait ? Tu aurais ton cheval a toi et tu pourrais voyager très rapidement qu'en dit tu ?

Elfarranne écouta Séphir. Il avait raison. Avoir son propre cheval, quelle idée séduisante. Une pensée vint dans son cerveau elle entendit une voix. 
Bonjour je m’appelle Neige 
La jument s’était connectée à l’esprit d’Elfarranne.
Tu te demande d’où je viens, non ? Je viens de très loin. Je me suis enfuie voilà plus d’un an. En passant non loin de Narbonne, j’ai compris que j’y serais bien accueillie. J’ai profité d’une nuit sans lune pour m’introduire dans le village. J’ai été attirée par ta maison, j’y suis entrée et me voilà.. 
Elfarranne la remercia de la confiance qu’elle lui avait accordé sans la connaître. Elle se tourna vers Séphir et lui expliqua : 
Elle s’appelle Neige, vient de loin et m’a choisit. 
Laissant Neige faire connaissance avec Lucius, Elfarranne rentra dans sa maison. Par où commencer ? Elle demanda à Séphir de l’aider. Elfarranne prit un balai et commença à nettoyer.

Séphir fit de même ramassant les bouts de verres jonchant le sol avec plénitude. Il regardait se qui avait été autrefois une maison propre a présent il y avait même du crottin sur le parquet. Cela donnait une légère envie de vomir a Sephyr.Enfin il continuait sa tâche jusqu'à se soit correct pour y marcher nu-pieds 
Ouaip elle n’a pas lésiner sur tes objets personnels !